Humour et bonne humeur

Un délégué syndical de la CGT en manque décide d'aller au bordel.

Étant quand même conscient des abus dont sont victimes les travailleuses du sexe, notre délégué cherche une «maison» où les filles sont syndiquées.


Au premier bordel, le syndicaliste s’informe :

· « Je voudrais une fille pour une heure, mais j’aimerais d’abord connaître votre politique concernant les employées. Est-ce qu’elles sont syndiquées ?»

· «Non, Monsieur, elles ne sont pas syndiquées !»

· «Quel est le pourcentage donné à la fille et le pourcentage conservé par la maison ?»

· «20 % à la fille et 80 % pour la maison !»

· «C’est absolument écœurant comme manière de fonctionner ! Je ne peux absolument pas encourager une situation
semblable. Je vais ailleurs !»


Poursuivant sa recherche, notre syndicaliste arrive dans une 2e maison et s’informe :

· «Bonjour ! Je voudrais une fille pour une heure, mais j’aimerais d’abord connaître votre politique concernant les employées. Est-ce qu’elles sont syndiquées ?»

· «Non, Monsieur, mes employées ne sont pas syndiquées !»

· « Quel est le pourcentage donné à la fille et le pourcentage conservé par la maison ?»

· «30 % à la fille et 70 % pour la maison !»

· «C’est dégueulasse ! Vous ne m’aurez pas comme client. Je vais ailleurs !»


Il se rend donc à une 3e maison.

· « Bonjour ! Je voudrais une fille pour une heure, mais j’aimerais d’abord connaître votre politique concernant les employées. Est-ce qu’elles sont syndiquées ?»

· « Oui, Monsieur, nos employées sont toutes syndiquées !»

· « Bon, enfin !!! Et quel est le pourcentage donné à la fille et le pourcentage conservé par la maison ?»

· « 80 % à la fille et 20 % pour la maison.»

· « Bravo! C’est une manière de fonctionner qui me convient parfaitement. Est-ce que je pourrais avoir la jolie petite rousse aux tétons roses dans le coin là-bas ?»

· « Non, Monsieur. Je suis désolée mais vous devez prendre celle qui est assise dans le fauteuil fleuri !»

· « Quoi !!! Mais cette femme a dans les 80 ans !!!»

· « Je le sais bien, Monsieur, mais nous devons fonctionner en privilégiant l’ancienneté, c’est inscrit dans la CONVENTION COLLECTIVE !…»

Charles-Louis-Jean de Pontifignac du Pré de l'Anglois "besogne" (comme il peut) Marie-Charline de la Tour du Mont Joracien, et il voit qu'elle n'est pas au mieux de sa forme, elle regarde le plafond, vérifie si les rideaux sont correctement mis etc...
Il lui demande :
- Ma très chère Marie-Charline sentez vous quelque chose ?
Elle répond :
- Pourquoi Charles-Louis-Jean auriez-vous flatulé ?

Ci-dessous c'est la voiture du dentiste, je n'ose pas penser à celle du gynécologue !

ATTENTION : sortie de balles au bout du canon !

Attention : coyote !

Le bar n'est pas ouvert actuellement car il est fermé.